Wite - à l'est rien de bien nouveau

[Yves]

la défense de Moscou a été elle dramatique et tenait a 1 fil !!

Mince, j'aurais pu prendre Moscou alors .

Du 19 au 25 novembre 1942 :

Les unités soviétiques encerclées par la 4ème PzArmee au nord-est de Baskunchak sont éliminées. Les chefs des formations blindées allemandes sont cependant peu enthousiastes à l'idée de lancer leurs forces vers l'Oural alors que l'hiver ne fait que débuter. Les capacités du réseau ferroviaire rendent par ailleurs impossible un redéploiement rapide d'une telle masse de véhicules. Enfin, les ordres de marche des unités en charge de l'invasion du Caucase tardent à tomber. Aussi est-ce le statu quo sur l'ensemble du front, seule la 4ème Armée poursuivant ses attaques locales au sud d'Arzamas.

[Yves]

Du 26 novembre au 2 décembre 1942 :

La 4ème Armée poursuit ses actions locales au sud d'Arzamas, autour de Temnikov et Tashino. L'infanterie allemande bouscule assez facilement des unités soviétiques peu aguerries, Corps mécanisés, de fusiliers ou de tanks.

La 6ème Armée avance lentement vers le nord-est en direction de Syzran, avec pour objectif la voie ferrée entre cette dernière et Penza.

Rien n'est signalé à l'est de la Volga où les Allemands se sont ramassés vers le fleuve alors que les Soviétiques se donnaient un peu de champ supplémentaire en se repliant vers l'est.

Au sud de Rostov, la 17ème Armée avance lentement vers Tikhoretsk, avec sur ses arrières la 2ème PzArmee qui, gonflée à bloc, s'apprête à débouler vers le Caucase.

[Yves]

Du 3 au 9 décembre 1942 :

Les deux secteurs du front encore actifs sont celui de la 4ème Armée au sud d'Arzamas et les approches vers le Caucase au nord de Krasnodar et Voroshilovsk.

La 4ème Armée, sur la défensive, se contente de disperser les unités soviétiques peu aguerries qui viennent se frotter à ses positions, bases possibles d'une offensive ultérieure. Un Corps blindé, le 5ème, 2 Corps et 2 divisions de fusiliers volent ainsi en éclats face aux vétérans de Weiss, bien secondé par ses chefs de Corps Geyer (IXème AK) et Felber (XIIIème AK).

En approche des montagnes du Caucase, la 2ème PzArmee est elle résolument à l'offensive. Guderian a lancé en avant Vietinghoff et Schweppenburg, gardant en réserve le XXXXVIIème PzK de Lemelsen. Dans la neige et le froid, le IVème Corps (17ème Armée) entame les premières lignes soviétiques à Pavlovskaya et Belaya Glina. Les XXIVème et XXXXVIème PzK prennent ensuite le relais pour élargir les brèches et se rabattre dans le dos de l'ennemi à Tikhoretsk. Un Corps blindé, un Corps mécanisé, une division de montagne et une division de fusiliers sont encerclés et promis à la destruction. La route de Kropotkin est ouverte, dernière étape avant Krasnodar et Voroshilovsk.

[Yves]

Du 10 au 16 décembre 1942 :

Guderian poursuit son avance vers le sud et les montagnes du Caucase en lançant le XXXXVIIème PzK à l'attaque de troupes soviétiques déjà mal en point. Les unités de Lemelsen atteignent le nœud ferroviaire de Kropotkin et prennent au piège deux divisions de fusiliers supplémentaires. L'ennemi encerclé ne se laisse pas faire pour autant, la 8ème divisions SS de cavalerie étant bousculée près de Tikhoretsk par les 136ème et 236ème divisions de fusiliers et la 77ème division de montagne.

Au Groupe d'Armées B, à Stalino, on surveille avec attention la Crimée où les Roumains de signalent aucun mouvement de la part des unités soviétiques qui leur font face, alors que la menace qui pèse sur leurs arrières se précise.